"Les enquetes d'opinion et les flux touristiques de week-end en attestent : la foret est devenue pour le citadin le dernier refuge naturel, la représentation de la nature sauvegardée. Elle concentre une somme de qualités dont notre fonctionnement urbain nous prive : silence, tranquillité, vie sauvage, enracinement, histoire, durée, etc... ... L'arbre est ainsi devenu une valeur refuge, plus seulement pour son ombre... Et nos sociétés actuelles, reconnaissantes réclament sa présence dans leur quotidien urbain. ... Ce travail est la conséquence naturelle de cette situation. Une association nationale d'habitants des villes, le CARNACQ, veut contribuer à la ""re-naturalisation"" des villes, et conventionne avec CREABOIS ISERE pour un travail d'inventaire : comment le bois peut-il contribuer à ""l'humanisation"" des villes? ... Le présent rapport identifie quelques pistes qui devront etre explorées puis, le moment venu, testées pratiquemment, in situ. "