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En 2005, l'architecte niçois Marc Barani se voit confier l'érection d'un mausolée pour l'ex-Premier ministre libanais, Rafiq Hariri, en plein cœur de Beyrouth. Après avoir creusé dans les falaises de Roquebrune-Cap-Martin le cimetière Saint-Pancrace en 1992 et aménagé un cimetière forestier à Sophia Antipolis en 2006, l'architecte, fort d'une expérience dans les espaces funéraires et de mémoire, voit dans cette commande l'occasion de concrétiser une ambition : faire de l'espace de la mort, bien souvent repoussé dans les périphéries des villes, un espace public, dans le poumon trépidant de la capitale libanaise.