Fiche-conseil
Pour faciliter un cadre de vie agréable et contribuer à la qualité de son quartier, chaque pétitionnaire peut faire entrer son voisinage dans son projet. Par l'échange, le projet peut être rendu moins coûteux, et surtout plus adapté aux besoins de chacun.
L'habitat participatif anime à la marge une partie des débats sur le logement aujourd'hui. Si le sujet de fond porte majoritairement sur la cherté du prix de la construction, la co-conception apparaît comme une piste intéressante.
La mutualisation des moyens pour construire un immeuble a du sens, ce qui n'exclut pas de réunion pour un projet de moindre ampleur.
Sommaire :
Dans cette plaquette, on différenciera quatre niveaux de prise en compte de l'autre.
1-Habitat participatif
Les futurs habitants définissent ensemble un projet d'habitat où pourront se combiner des logements privatifs et des espaces communs.
2-Mutualisation des coûts
Les habitants se regroupent pour disposer de prestations à moindre coûts (conception par un architecte, prix réduits sur l'achat de matériaux, études de sol faites pour l'ensemble, ...).
3-Prise en compte du voisinage
Le voisin est rencontré, pour organiser une mitoyenneté ou simplement s'assurer que le projet ne lui pose pas de problème (intimité, apport de lumière naturelle, esthétisme, ...).
4-Respect de principes généraux
Parce qu'il n'y a pas encore de voisins ou lorsque vous souhaitez penser votre projet surtout en fonction de vos envies, quelques principes peuvent être respectés pour pallier à la plupart des conflits de voisinage.
Rêve et réalité