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" Après avoir composé le code de la porte, je quitte la bruyante et cosmopolite rue d'Avron pour basculer dans un autre monde, proche de la peinture du réalisme métaphysique des années 1930… Une cour étroite et allongée mène vers une imposante construction en fonte et en verre, une ancienne fabrique de sacs à main qui abrite aujourd'hui une école d'escalade. À gauche, un petit jardin luxuriant sert d'écrin à un élégant pavillon. C'est au premier étage du bâtiment qui le jouxte que je trouve le bureau de Frédéric Bonnet, séparé par l'escalier de la grande pièce où s'affairent ses collaborateurs et des associés. Sa fenêtre cadre un improbable collage de descentes d'eau et de toitures parisiennes en zinc sur un fond de murs en briques : une vue rêvée pour prendre du recul et méditer sur les nouvelles manières d'aborder le métier d'architecte…"