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"Les zones économiques et commerciales, composantes de cette "France moche" dénoncée il y a 14 ans par Télérama, ont en commun leur développement à une époque de foncier abondant et dans une logique monofonctionnelle. Au regard de l'objectif Zéro artificialisation nette, les zones commerciales de périphérie représentent un réservoir foncier de première importance. Complètement anthropisés, ils offrent un potentiel de régénération et de végétalisation massive. Ces espaces sont en passe d'accéder à la mixité. Non pas en renonçant à leur vocation première, mais en accueillant complètement de nouvelles fonctions.Un gain d'urbanité à inscrire dans une stratégie territoriale : il ne s'agirait pas d'ajouter une concurrence résidentielle à la concurrence commerciale par rapport aux centre-villes. Autres mastodontes périphériques, les zones d'activité économique ont besoin de se renouveler et de gagner en attractivité, en maniant désartificialisation et/ou densification, dans un dialogue entre objectifs, fonctions et acteurs. Ces zones témoignent d'un changement d'époque et illustrent la fabrique urbaine dans ses complexités".
Sommaire : - 15 arpents à Orly : de l'art de transformer une zone logistique en quartier de ville - Aix-Marseille : un plan pour mettre de la ville à plan-de-campagne - Noisy-le-Grand Mont d'Est : renouveler le tertiaire