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Trop cher, le foncier serait responsable de l'envolée des prix des logements, excluant de l'accession à la propriété les plus modestes. Trop rare, il empêcherait la production de logements (…) Bref, l'excuse foncière est répandue, sorte de constante historique : le foncier serait coupable de l'échec des politiques d'urbanisme du logement. Et si le foncier était, plutôt que la cause, le symptôme de nos échecs et renoncements en matière de politique publique volontariste et durable de création de logement abordable et social ?