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Dominique Lyon me reçoit chez lui au neuvième étage d'un immeuble sans qualité construit dans les années 1970 dans le 11e arrondissement de Paris. Son salon, très lumineux, est largement ouvert au loin sur les tours de l'église Saint-Ambroise. Il est traversé par une descente d'eau qui organise l'espace autour d'elle et, sur ses murs, sont accrochées des toiles de Bernard Frize et de multiples autres œuvres dont je ne parviens pas à deviner les auteurs. Nous nous installons face à face dans de confortables canapés bas, sous la présidence d'un monumental Lounge Chair de Harry Bertoia qui semble nous observer avec une certaine condescendance.